Julien,
Vous semblez comblé donc. Vous m'en voyez ravie.
Si c'est bien celui de qui j'entends parler, ce Raphael, je sais déjà que vous courrez à votre perte. Ce garçon est fragile et si vous voulez mon avis, ne vous comblera jamais vraiment.
Voullez vous, il ne faut pas mélanger l'amour et la pitié.
Bref, je vois que vous avez jeté votre dévolu sur lui et je n'irai pas contre, cependant je vous aurais mis en garde. Ce garçon aura mauvaise influence sur votre personne.
Je me permet de vous parler en amis Julien, et accordez vous tout de même à dire qu'avec l'homme dont on s'est entiché, on ne va pas à l'église comme je vous y ai vu en sa compagnie résemment. On fait bien autre chose, des choses autrement plus passionantes et que je vous ai enseignés d'ailleurs.
Secondement, je vous prierais, puisque vous souhaitez vous retirer de monentourage, vous retirer de mon chateau et plus largement de mon domaine. Je vous demande donc poliment de libérer vos appartements d'Orléans.
J'espère que vous ferrait preuve de compréhension.
Merci d'avance.
Philippe.