rencontre royale

*Après s'être promener au Louvre avec la marquise de Montespan, le chevalier de Lorraine pensait avoir enfin l'occasion de se retrouver un peu seul. Il restait plonger dans ses pensées et se souciait de l'immense tristesse de la marquise qu'il était parvenu à disssiper du moins durant un moment. Il songea également à sa rencontre avec Philippe d'Orléans. Comme il avait été ravi de faire sa rencontre. Il s'était senti tellement proche de lui que se fut sa propre tristesse qu'il avait réussit à oublier. Comme ses jambes lui étaient très douloureuses, et il s'assit au pied d'une colonne. Il commença à somnoler. Il n'avait pas même remarqué l'arrivée de la reine Marie-Thérèse d'Autriche*

- bonjour Monsieur est ce que tout va bien ?

*Philippe se retourna. Et lorsqu'il s'aperçut que la femme derrière lui se trouvait être la reine de France, il se releva d'un bond et lui fit une révérence allant jusqu'à toucher le sol*

- Je suis ravi de vous voir votre altesse. Et j'espère pouvoir me faire pardonner l'affront que je vous ai fait en osant me présenter devant vous d'une telle manière.

*Il se releva et répondit alors à sa question*

- Je me porte à merveille merci de vous en inquiéter. Si je suis si fatigué c'est que mes promenades de la journées m'ont érinter.

* Il s'inquiéta avec politessse*

- Comment vous portez-vous ?

- cela pourrais aller mieux a dire vrai

*Voyant qu'elle était malheureuse, Philippe lui demanda soudainement*

- M'estimerais-vous trop impoli si je vous en demandais la raison de votre mine triste?

- c est dur d etre la femme de qulqu un qui ne ressent rien pour vous
* a les larmes aux yeux *

*Philippe se souvint subitement de sa disscusion avec madame de Montespan. Et maintenant qu'il se trouvait en face de la reine cette pauvre femme lui inspirait de la pitié*

- Pardonnez ma remarque mais il est vrai que connaissant les maîtresses de sa Majesté il doit vous être très difficile de les voir sans en ressentir de la tristesse.

hj: ralonge un peu tes phrase elle sontr trop courtes.

- ce ne sont pas ses maitresse le problème le problème c est qu il me hait et me l a dit en face

HJ : JE REPETE RALONGE TES PHRASES!!!!!!!!!!!!!!!!!!

*Philippe réfléchit un bref instant et tenta de la rassurer*

- Mais peut être vous l'a-t-il dit lorsqu'il était dans un état de nerf. Vous ne le pensez pas?

hj: la pauvre l'engueule pas mdrr c'est pas grave... lol

hj ben je voulais juste qu'elle écrive de plus grande message. Tu trouve pas que deux lignes maxi ça fait un peu peu

hj: si lol mais bon si son perso a pas grand chose à dire... je sais pas faut voir mdrr

hj : ouais c'est vrai tu as raison je vais pas jouer les rabats-joie

* la reine le regarde avec un sourire *
- allons Monsieur je connais bien le roi j y suis malheureusement mariée et je peux vous dire de source plus que sur qu il ne m aime absolument pas er ne ressent aucune amitié a mon egard

*Philippe la reagarda. Il se sentait bien malheureux pour elle. Et se demandait s'il devait aborder le douloureux sujet de madame de Montespan. Finalement il s'y refusa et lui souhaita lui faire part de ses pensées*

- Je suis vraiment navré pour vous votre altesse. Votre position ne doit pas être facile à supporter.

HJ; décroche stp je t apel a la maison