Ballade: Anne d'Autriche et Mme de Montespan

-Ne vous en faites pas.Je suis encore là

-Oui, et pour longtemps encore j'espère. Vous êtes comme une mère pour moi.

*sourit*

-Je préfère vous voir sourire.

-Pour sur!!Vous allez vous marier avec Louis?

*surprise*
-Je vous demande pardon?
*la regarde avec des yeux de merlan frit*

hj: merlan frit!!!ptdr

-Louis m'a dit pour ce mariage

*a chaud*
*sort son éventail*
-Mais de quoi parlez-vous? Je ne comprends pas un traitre mort de ce que vous me dites.
*s'évente*
-Vous connaissez mes sentiments pour votre fils
*rougit*
-Mais je doute que celà soit réciproque.

-Laisser.

ce doit être l'angoisse de sa maladie, elle ne sait plus ce qu'elle dit...
-Voulez-vous vous asseoir un instant?

-Non je vais bien.

*sourit*
-Je l'espère.

-Oui
*sourit tendrement*

je ne vais jamais m'en remettre quand elle disparaitra...
*lui prend la main*
*la serre*
*se rend compte de son geste un peu trop familier*
-Excusez-moi...
*se recule*

-Cela n'est rien mon enfant.
*lui tend les bras*

*vient dans ses bras*
*la serre*
*a envie de pleurer*
-Majesté...

-Oui?

-Je vous aime tellement

HJ: amical hein! mdr

hj: a bon???mdr

-Moi aussi ma fille

*verse une larme*
*ne sait pas quoi dire*
-Vous êtes tellement gentille.

HJ: oui oui ptdrrr

-Vous faites partis de ces gens qui me vois comme cela

-Pourquoi dites-vous celà? Toutes les personnes qui vous connaissent vous trouvent merveilleuse, j'en suis persuadée.

-Elle ne connaisse que la femme froide.

-Ne dites pas celà, vous êtes quelqu'un de très humain. Mais au rang où vous êtes, il est normal de ne pas le montrer tous les jours.

-La mere de Louis ce montrais comme cela a mon egars